Un décès n'apporte pas seulement beaucoup de souffrance émotionnelle, il peut aussi entraîner de graves soucis financiers. Le Baromètre de la Sérénité financière de NN démontre que les Belges accordent beaucoup d'importance à leur famille. Pourtant, seuls 17 % de nos compatriotes ont souscrit une assurance-décès qui protège leur famille des conséquences financières d'un décès inopiné...
Le Baromètre de la Sérénité financière a sondé en mars 2022 un peu plus de 1.000 Belges pour savoir ce qui était important pour eux dans la vie. La santé, être heureux et la cellule familiale constituent le top trois. La famille plus éloignée, les amis, les revenus et la maison sont également pour eux des choses importantes. La carrière et la voiture comptent moins pour les Belges.
Il est cependant remarquable que, dans la pratique, les Belges assurent surtout, au moyen de produits financiers d'assurance, les choses qu'ils déclarent eux-mêmes trouver moins importantes. En effet, nous contractons généralement des assurances pour des choses matérielles. Alors que nous n'assurons souvent pas les éléments que nous jugeons les plus importants, comme l'avenir de notre famille. Quelques exemples :
Bref, quand il s'agit de protection financière, nous pensons souvent à court, et non à long terme.
Moins d'un cinquième des Belges a une assurance-décès, voilà une constatation importante. 27 % des Belges entre 18 et 79 ans indiquent en effet que leur décès entraînerait de graves difficultés financières pour leurs proches. C'est encore plus nettement le cas pour les familles dont les enfants habitent encore à la maison : 43 % chez les familles monoparentales et 40 % chez les familles avec enfants.
73 % des Belges déclarent qu'un décès n'aurait qu'un impact financier limité. Seuls 13% d'entre eux ont fait appel à une assistance professionnelle pour préserver ceux qui leur sont chers. Si nous examinons seulement ceux qui ont conclu une assurance-décès, nous voyons que 28 % ont fait appel à un professionnel. Chez les gens qui ont un plan financier, ce chiffre est de 21 %.
Le décès du conjoint peut également entraîner des problèmes financiers. 55 % des répondants s'en font effectivement et se demandent s'ils pourront maintenir leur niveau de vie. Les femmes s'en font clairement plus que les hommes : 53 % des hommes n'ont pas ces soucis, contre seulement 37 % des femmes.
Ce qui ressort également, c'est que seuls 43 % en ont déjà parlé avec leur famille ou leurs proches. Ceux qui en ont déjà parlé, admettent dans trois cas sur quatre que cette conversation les avait rassurés. Cela aide donc bien d'en parler. Et comme l'espérance de vie ne cesse d'augmenter, il n'est pas seulement important d'en parler, mais aussi d'agir.
Les assurances-vie ou décès peuvent renforcer la sérénité financière. Avec une assurance-vie, il est par exemple possible d'épargner pour plus tard. Une assurance-décès prévoit en revanche un capital pour les proches.
Attention, une assurance-décès n'a rien à voir avec une assurance-obsèques. Celle-ci ne couvre que les frais des obsèques pour les proches. 47 % des participants à l'enquête ne connaissaient pas cette différence. Il est également à noter que 77 % des Belges surestiment la prime des assurance-décès. 62 % pensent que la prime est deux fois plus importante qu'elle ne l'est en réalité.
Entre-temps, il est clair qu'une assurance-décès est tout sauf inutile. Une telle assurance-décès vous permet d'intégrer une sécurité financière pour vos proches dans le cas de votre décès ou de celui de votre conjoint. Souvent, cette prime est relativement limitée. Vous souhaitez en savoir plus ? Dans ce cas, vous devez certainement demander le "white paper" de NN sur les assurance-décès.
Découvrez ici comment vous pouvez protéger financièrement votre famille avec une assurance-décès de NN.
Désabonnement en un clic.
En vous inscrivant, vous nous autorisez à recevoir cette newsletter chaque mois. Vous trouverez de plus amples informations dans notre déclaration de confidentialité.
